Couverture Volume 1 — Trois jours à Moscou

Volume 1 — Trois jours à Moscou

Fragilité, initiation, premières ombres du désir

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Quatrième de couverture

Trois jours, une ville, deux âmes en quête… et une ombre qui les observe.

Dans la neige de Moscou, l’amour surgit comme une évidence. Mais chaque lumière attire son spectre.

Tatiana vit à Cheboksary, une petite ville figée par le froid. Ses journées se répètent dans une boutique de prêt-à-porter, entre les visages pressés des clientes et le silence de ses soirées. Elle porte en elle une absence, une faille invisible, et l’espoir secret qu’un ailleurs viendra briser cette monotonie.

Li Wei habite Shanghai, une métropole vibrante où la réussite se mesure en chiffres et en contrats. Cadre dans une société de finance, il avance avec assurance, mais derrière ses costumes impeccables se cache une solitude qu’il n’avoue à personne. Ses nuits sont peuplées de pensées qu’il consigne dans un carnet, comme pour ne pas oublier qu’il est encore vivant.

Deux existences éloignées, séparées par des milliers de kilomètres, mais un même vide intérieur, une même quête silencieuse. Moscou sera le théâtre de leur rencontre. Trois jours seulement, et pourtant assez pour que leurs solitudes se brisent, pour que leurs blessures trouvent un écho, pour que l’amour surgisse comme une évidence.

Mais dans l’ombre des rues enneigées, une silhouette les suit. Viktor, porteur d’une rose noire, incarne la part obscure de toute rencontre : le doute, la menace, la mémoire des absences. Est-il un témoin, un intrus, ou le reflet de ce qu’ils craignent de perdre ?

Un roman court, intense et poétique, qui explore la fragilité des instants, la force des rencontres, et l’ombre qui rôde toujours autour de la lumière.

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